Documentation

La langue des signes par Elix… Vous avez dit: dictionnaire ? 👍

Elix est un dictionnaire bilingue français / Langue des Signes Française (LSF) qui fonctionne comme un moteur de recherche : il vous suffit de saisir un mot dans le DicoElix pour qu’il vous propose, en vidĂ©o, le signe associĂ© et sa dĂ©finition en LSF… En tant que plus grande ressource en LSF proposant prĂšs de 21 000 dĂ©finitions traduites et plus de 15 300 signes, Elix sĂ©duit les personnes sourdes comme entendantes, avec 70 000 utilisateurs rĂ©guliers et plus de 6 000 visites par jour.

PortĂ© par Signes de Sens et ses partenaires, Elix crĂ©e une passerelle entre la LSF et le français pour faciliter l’inclusion des personnes sourdes dans la sociĂ©tĂ© et faciliter l’apprentissage de la LSF pour tous.

langage des signes

Le dico…

Documentation

  • « Plaidoyer pour une gĂ©nĂ©ralisation de l’apprentissage citoyen de la communication alternative et amĂ©liorĂ©e »

    Un collectif d’associations et de professionnels des domaines mĂ©dico-sociaux appelle, dans une tribune au « Monde Â», Ă  la mise en place d’un plan massif de financement des moyens et outils de communication Ă  disposition des personnes non verbales ainsi qu’à la formation de tous. PubliĂ© le 10 septembre 2024 par un collectif dans le journal « Le Monde »

  • À l’origine de la LSF : « Sciences Chrono », une Ă©mission de France Culture (mars 2024)

    Au XVIIIe siĂšcle les personnes sourdes et muettes Ă©taient encore largement marginalisĂ©es dans les sociĂ©tĂ©s aussi bien rurales et qu’urbaines. DĂ©pourvues d’ouĂŻe, on pensait qu’elles ne pouvaient pas acquĂ©rir de savoir.
    Il a fallu qu’un certain Charles-Michel de l’EpĂ©e fasse l’observation en partie romancĂ©e de jumelles sourdes muettes communiquant par gestes, pour que l’idĂ©e d’une pĂ©dagogie adaptĂ©e prenne toute son ampleur.

  • La parole exceptionnelle et si utile de Jean Oury (1924-2014) pour la comprĂ©hension de l’autre, l’humain

    Au hasard d’une promenade sur la toile, on trouve parfois des propos qui marquent. Ceux, par exemple, de Jean Oury, mĂ©decin psychiatre et psychanalyste, fondateur de la clinique de la Borde qu’il a dirigĂ© jusqu’Ă  sa mort.
    Quand l’autre est singulier, il mĂ©rite qu’on imagine, qu’on invente ou qu’on renouvelle l’attention qu’on lui porte. Ce qui se dit ici dĂ©passe largement le cadre d’une prise en charge et d’une expertise mĂ©dicales. C’est une parole qui dit l’intelligence du rapport humain et une façon exemplaire de faire sociĂ©tĂ©. Pour chacun d’entre nous, d’oĂč et quel qu’il soit, un viatique.

  • « Les emmener jusqu’au bout de leur vie » Quand, en 1965, Lino Ventura s’attaque aux mentalitĂ©s qui refusent le handicap   »Le RĂȘve de Lino » un film de Delphine Valeille.

    En 1958, la naissance de sa fille Linda va tourner au drame : une jaunisse, des complications et puis un cerveau abĂźmĂ©. Linda restera Ă  vie en situation de handicap. Lino Ventura sait que c’est Ă  BaracĂ© qu’elle trouvera l’accueil et la bienveillance dont elle a besoin, dans une France oĂč le handicap est encore une tare, une honte.

  • MÉMO permet aux jeunes avec des troubles « complexes » du langage de construire leur avenir.

    « Ces jeunes ĂągĂ©s de 16 Ă  36 ans souffrent de troubles complexes du langage (TCL), c’est-Ă -dire une association de troubles concomitants Ă  la fois sur le plan linguistique, tant dans la rĂ©ception que dans l’expression qui engendrent un dĂ©ficit durable de la comprĂ©hension et du traitement de l’information. Chacun a des forces et des faiblesses diffĂ©rentes du point de vue auditif, visuel, physique ou bien encore de la proprioception, la perception de son corps. Ces difficultĂ©s engendrent par moment des comportements dĂ©fis. »
    © Emmanuelle Deleplace

  • Une as des mots : Babouillec racontĂ©e par Julie Bertuccelli


    Cette jeune femme, nĂ© en 1985, diagnostiquĂ©e « autiste trĂšs dĂ©ficitaire », a longtemps Ă©tĂ© enfermĂ©e dans une impossible communication jusqu’à ce que soit mise Ă  sa disposition une boĂźte Ă  lettres. Dans les « usines Ă  gaz » (aucune volontĂ© dĂ©prĂ©ciative dans l’expression; seulement une Ă©vocation de la complexitĂ©) qu’imaginent les aidants -en la circonstance sa mĂšre- pour ĂȘtre avec les personnes handicapĂ©es…

  • « La langue des signes est vitale ! » Emmanuelle Laborit …

    « IVT, ça a Ă©tĂ© un combat de trente annĂ©es et je rends hommage Ă  toutes celles et Ă  tous qui y ont contribuĂ©. C’est une victoire mais, pour moi, ce n’est pas terminĂ© parce que, maintenant, il faut faire vivre ce lieu
 Quand on veut apprendre une langue, on va dans le pays et on s’immerge dans sa langue et sa culture. Pour apprendre la langue des signes, on ne peut pas aller au pays des sourds. Pour ceux qui veulent apprendre et Ă©changer avec nous, il y a IVT qui est un lieu artistique et culturel »

  • Stanislas Lyonnet-Marie SĂ©gala. Le gĂ©nĂ©ticien et la directrice de MÉMO.

    Quand le sanitaire et le mĂ©dico social Ă©changent Ă©merge une meilleure possibilitĂ© d’un chemin de soi pour toutes celles et ceux que les troubles complexes du langage rendent plus singuliers. Comme le dit l’institut Imagine que dirige Stanislas Lyonnet, il s’agit bien quand le diagnostic gĂ©nĂ©tique est possible et posĂ© de changer la vie et de renverser le sort.

  • Les Troubles complexes du Langage, 🧐 ?

    Les enfants et les jeunes adultes TCL sont atteints d’un trouble du langage congĂ©nital, sĂ©vĂšre et durable. (
) Le langage est entravĂ© aussi bien sur le plan de la comprĂ©hension que de l’expression et touche plus ou moins diffĂ©rents aspects des compĂ©tences langagiĂšres (syntaxe, morphologie, lexique, sĂ©mantique) ainsi que la pragmatique du langage. (
)
    Le trouble du langage se développe dans un tableau pathologique complexe.
    Sylvie Lenormand ,directrice adj. du Centre National de Ressources Handicap Rares
    FĂ©vrier 2023.

  • Transformer l’offre de service dans le secteur du handicap. Les 100 💡 de François Bernard …

    Droit de vivre dans la sociĂ©tĂ© et de s’y insĂ©rer, libertĂ© de choix, pleine intĂ©gration et participation Ă  la sociĂ©tĂ© ; choisir son lieu de rĂ©sidence, oĂč et avec qui elles vont vivre, ne pas ĂȘtre obligĂ©es de vivre dans un milieu de vie particulier ; avoir accĂšs Ă  une gamme de services Ă  domicile ou en Ă©tablissement, ne pas ĂȘtre isolĂ©es ou victimes de sĂ©grĂ©gation


  • Pierre Delion : pour aider l’autre, la « constellation transfĂ©rentielle »…

    S’il ne fallait retenir qu’une expression de Pierre Delion, ce serait celle-lĂ . Elle dit l’exacte mesure de l’enjeu d’un soin qui implique le psychiatre comme la cantiniĂšre ou le jardinier pour aider l’enfant murĂ© dans son mutisme. Mais plus largement, c’est l’allĂ©gorie d’un collectif, d’une diversitĂ© d’approches pour rĂ©intĂ©grer l’autre dans la communautĂ©. Le psychiatre Pierre Delion a ici la simplicitĂ© et la tranquillitĂ© du passeur. Il dit les effrois ou les surprises acceptĂ©s, la curiositĂ© infinie qu’il a mise avec ses Ă©quipes au service de chacun de ses patients.

  • « Les 100 mots de la gĂ©nĂ©tique » de Dominique Stoppa-Lyonnet et Stanislas Lyonnet

    « C’est dans mes gĂšnes ! » ; « c’est l’ADN de notre maison ! »  De la gĂ©nĂ©tique, le langage courant a tirĂ© des expressions imagĂ©es qui parlent Ă  tout le monde. Mais qui connaĂźt rĂ©ellement cette science de l’hĂ©rĂ©dité ? Elle fascine, pour les progrĂšs qu’elle a permis et qu’elle promet, autant qu’elle inspire la dĂ©fiance, Ă  cause de la façon dont elle semble instrumentaliser l’humain.
    De fait, les problĂšmes Ă©thiques qu’elle soulĂšve sont de taille … 

  • « Plus sensible que la moyenne! » Benjamin Lavernhe est autiste Asperger dans le film « Le goĂ»t des merveilles… »

    Depuis la mort de son mari, Louise Ă©lĂšve seule ses deux enfants. Elle a hĂ©ritĂ© de l’exploitation agricole de son Ă©poux, qu’elle gĂšre avec difficultĂ©. Un soir, sur la route, elle renverse un homme, Pierre. Elle dĂ©cide de le ramener chez elle pour le soigner. Mais l’inconnu a un comportement singulier… Le film est issu d’un long travail de documentation sur l’autisme de la part d’Eric Besnard, le rĂ©alisateur.

  • Charles Gardou : les mots d’un pĂšre 


    « Les mots ont Ă©tĂ© mes seuls amours, quelques-uns » Beckett. Charles Gardou connaĂźt la fĂ©rocitĂ© du fauve, celle que le handicap redouble quand il touche l’enfant. Quand le rĂ©el psychanalytique l’a cognĂ©, l’anthropologue et l’universitaire lui a opposĂ© une premiĂšre rĂ©ponse thĂ©orique. La diversitĂ© et la singularitĂ© de l’humain sont devenues son sujet dans une sociĂ©tĂ©, la nĂŽtre, oĂč, dans « le tintamarre des normes », « l’on fantasme le handicap de ne pas le connaĂźtre ». Quand ailleurs il est tout aussi possible de se passer du mot inclusion et d’ĂȘtre dans une communautĂ© naturellement hospitaliĂšre de sort et de destin avec les personnes empĂȘchĂ©es.

  • guide ATOSTI

    Le Guide Atosti

    Vers une société plus inclusive !

    le Guide ATOSTI -Accompagnement Ă  la Transformation de l’Offre de Services par la Transition Inclusive- voit le jour, pour accompagner les organismes mĂ©dico-sociaux ou de droit commun souhaitant s’engager dans une dĂ©marche de transformation de leur offre de services.

  • Le discours d’une mĂ©thode : Reuven Reuven Feuerstein …

    Des mots de minuit #203Reuven Feuerstein – IrĂšne Jacob ©Des mots de minuit – avril 2005  « La mĂ©thode Feuerstein a Ă©tĂ© dĂ©finie par le Professeur Reuven Feuerstein pour venir en aide aux enfants dont les capacitĂ©s intellectuelles n’ont pas Ă©tĂ© suffisamment exploitĂ©es pour leur permettre de faire face aux exigences du cadre scolaire et d’arriver […]